dimanche 2 mars 2014

Pensez au service civique...

Il peut intéresser tout jeune en situation de décrochage scolaire, en fin d'étude, en année de césure ou même pendant ses études.
Le service civique est un engagement volontaire au service de l'intérêt général, ouvert à tous les jeunes de 16 à 25 ans, sans aucune condition de diplôme.
Il faut soit posséder la nationalité française ou celle d’un Etat membre de l’Union européenne ou de l’espace économique européen, soit justifier d’un séjour régulier en France depuis plus d’un an.
Il s’agit d’un engagement volontaire d’une durée de 6 à 12 mois, pour l’accomplissement d’une mission d’intérêt général dans l'un des neuf domaines d’intervention reconnus prioritaires pour la nation : solidarité, santé, éducation pour tous, culture et loisirs, sport, environnement, mémoire et citoyenneté, développement international et action humanitaire, intervention d’urgence.

Il peut être effectué auprès d’associations, de collectivités territoriales (mairies, départements ou régions) ou d’établissements publics (musées, collèges, lycées…), pour une mission d'au moins 24 heures par semaine.
Le jeune volontaire sera indemnisé autour de 570 euros net par mois.

Il constitue surtout une opportunité de développer ou d’acquérir de nouvelles compétences : chaque jeune volontaire en Service Civique bénéficie d'un tutorat individualisé et d’un accompagnement à la définition de son projet d’avenir.
Le temps d'engagement comprend un temps de mission et un temps de formation Civique et Citoyenne, qui s’appuie sur deux approches complé­mentaires :

éveil citoyen sur l’ensemble de la durée de la mission : invitation aux réunions statutaires associatives (CA, AG…), aux conseils de quar­tiers, liens avec les missions réali­sées par le volontaire… 
 
organisation de journées de forma­tion civique et citoyenne : forma­tion aux premiers secours (PSC1), rencontres d’acteurs citoyens (élus, magistrats…), débats autour de grands thèmes à aborder (les va­leurs de notre République, l’orga­nisation de la Cité, l’international...).

Dans le cas spécifique des jeunes ayant décroché du système scolaire, le ministère de l’Education nationale a construit un partenariat avec le ministère des sports, de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative et l’Agence du Service Civique afin de leur proposer des solutions spécifiques permettant d’allier projet de formation et mission d’intérêt général.
Ce partenariat permet à la fois un engagement de Service Civique et un suivi personnalisé du jeune ayant quitté le système éducatif sans qualification.
Il existe deux options : service civique à temps plein, ou en alternance.


Le service civique peut également s'effectuer à l'étranger. Le jeune volontaire bénéficiera alors d'un accompagnement adapté, afin de faciliter son insertion dans un nouvel environnement social et culturel.

N'hésitez pas à vous renseigner auprès de la Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS).
Pour plus d'informations, je vous recommande de consulter le site spécialisé :

mercredi 5 février 2014

Apprendre les langues étrangères

Tout petit, l'enfant apprend de façon naturelle une ou plusieurs langues. Ainsi, l'enfant d'un couple bilingue parlera facilement les deux langues parentales. L'idéal étant que chacun des parents communique avec son fils ou sa fille dans sa langue maternelle. Ensuite, plus l'enfant connaîtra de langues, plus il lui sera facile d'en apprendre une nouvelle.
Par contre, si vous vous apercevez que votre enfant a des difficultés de langage dans l'une ou l'autre langue, ne pensez pas que ces difficultés sont dues au bilinguisme. Prenez conseil auprès d'une orthophoniste.
Si votre enfant n'a pas la chance de vivre dans une famille bilingue, ne baissez pas les bras : vous avez peut-être la possibilité de trouver une nounou ou une baby-sitter qui lui parlera dans sa langue maternelle, ou bien de l'inscrire (le plus tôt possible) dans une école bilingue. 

Pensez également aux chansons et aux comptines, qui incitent à apprendre et à répéter de façon ludique les expressions courantes. On trouve facilement dans le commerce et dans les médiathèques de jolis albums et Cds. Le jeune enfant goûtera ainsi le plaisir des mots, des sons, du jeu dans une autre langue. Grâce à la répétition, il développera peu à peu des capacités de compréhension et d'expression orale, sur lesquelles il pourra s'appuyer, un peu plus tard, pour acquérir des connaissances de la langue écrite. Parallèlement, lisez avec lui des albums sur les enfants du monde, regardez ensemble des reportages à la télévision : en effet, on ne peut dissocier une langue de sa culture. C'est ainsi que l'enfant s'ouvre sur les autres et qu'il découvre que d'autres personnes peuvent avoir d'autres coutumes que celles de sa famille et que celles-ci sont tout aussi intéressantes et riches que la sienne propre.

A partir de l'école primaire, les jeunes élèves abordent l'apprentissage d'une langue étrangère. S'ils ont déjà été sensibilisés plus jeunes, ils apprendront d'autant plus facilement. En dehors de l'école, vos enfants apprendront rapidement en regardant des films en V.O sous-titrée et en jouant à leurs jeux préférés en langue étrangère.
Et si vous-même ne parlez pas la langue étudiée par votre enfant, pourquoi ne pas lui demander de vous l'enseigner ? C'est un très bon exercice !

Plus grands, incitez-les à prendre l'habitude d'écouter les chaînes de radio étrangères. 

La BBC par exemple propose d'excellentes émissions qu'il est possible de podcaster :

Bref, pour les enfants et les jeunes ados, donnez la priorité à l'oral. Mais il ne faut pas pour autant négliger l'écrit ! L'apprentissage de la grammaire et de la conjugaison sont, en effet, indispensables. Et dans ces domaines, rien ne vaut « le par coeur » ! Les parents peuvent aider leurs enfants en leur faisant réciter régulièrement les listes de verbes irréguliers, par exemple. Ce travail peut paraître rébarbatif, mais il s'avère rapidement payant. Là encore, misez sur la régularité.
Dès qu'ils se sentent un peu à l'aise, ils peuvent également commencer à s'intéresser de plus près à l'écrit, par exemple à travers les romans ou les recueils de nouvelles en édition bilingue. Un peu plus tard, ils s'exerceront à la traduction, qui est le meilleur moyen d'accéder à un niveau élevé.

Enfin, bien entendu, dès que nos enfants ont la possibilité d'effectuer un séjour à l'étranger en immersion (l'idéal étant le séjour en famille), sautons sur l'occasion !

mercredi 15 janvier 2014

L'anxiété de performance

Nous vivons dans une société qui valorise l'excellence et les performances exceptionnelles. A l'école, l'exigence de résultats se fait sentir de plus en plus tôt : dès les premières années l'enfant se sent testé, évalué, étiqueté.
Or, cette recherche de l'excellence a des conséquences sur nos enfants et nos jeunes. Ecoliers, lycéens et étudiants ressentent une pression très forte, dont sont responsables tout à la fois enseignants et parents, en fait la société dans son ensemble (d'ailleurs les parents ressentent souvent eux-mêmes ce stress au travail).
Dès le plus jeune âge, les enfants sont mis en compétition et incités à réussir mieux que leurs petits camarades. Cette compétition se retrouve également dans les familles, où les comparaisons entre frères et sœurs ne sont pas rares.
Or, c'est l'émulation qui permet le progrès, pas la compétition. L'émulation permet de s'améliorer en comparant la façon de procéder des autres : j'apprends en observant l'autre et en essayant de m'améliorer pour avancer et pour me dépasser moi-même. Alors que dans le cadre de la compétition, je me confronte à l'autre pour essayer de le dépasser et de le mettre hors-jeu.
L'anxiété qui résulte souvent de ce type de fonctionnement entraîne des problèmes de concentration et de mémorisation. On obtient alors l'effet inverse de celui escompté : si je cherche à tout faire de façon parfaite, je vais essayer de tout contrôler, tout prévoir, donc stresser par peur de mal faire les choses.

L'anxiété de performance touche beaucoup d'enfants aujourd'hui : l'enfant ou le jeune qui a peur de rater son examen ou sa prestation orale est victime de petits malaises (maux de tête, maux de ventre, problèmes de sommeil, pensées négatives....).
Le rôle des parents est alors de l'inviter à exprimer ses peurs ou ses inquiétudes, de dédramatiser l'erreur ou l'échec et de l'encourager à apprendre pour le plaisir et non pour la note : dîtes-lui que vous l'aimez pour ce qu'il/elle est et non pour ce qu'il/elle fait : « Je t'aime avec tes défauts et tes qualités ».
Facile à dire, d'accord. Mais avant de leur faire des critiques, pensez aussi et surtout à leur faire des compliments !
Nous sommes pourtant bien conscients qu'il est impossible d'exceller partout et tout le temps... Invitons nos enfants à classer leurs objectifs par ordre d'importance et à se concentrer surtout sur les plus importants. Aidons-les à identifier quels sont leurs points forts et quels sont leurs points faibles, incitons-les à s'ouvrir aux conseils de leur entourage et à les mettre en pratique. Apprenons-leur à savoir tirer les leçons de leurs erreurs et à continuer à avancer de façon confiante : qu'ont-ils appris de telle ou telle expérience ?
Aidons-les notamment à formuler leurs désirs, leurs objectifs, leurs déceptions.... car cette habitude à communiquer leurs émotions et leurs ressentis leur facilitera l'acquisition de compétences d'expression orale et écrite, donc le succès dans le domaine scolaire...
Apprenons-leur à savoir apprécier les petites et les grandes réussites. Et valorisons le sens de l'effort. La réussite s'obtient non par des coups de chance successifs, mais par des efforts menés sur le long terme. Même si les résultats obtenus ne sont pas exactement ceux qui étaient attendus, valorisons le parcours réalisé, et surtout le plaisir ressenti au long de ce parcours ou lors d'une réussite.
En fait, soyons présents, attentifs et compréhensifs, et surtout réintroduisons une certaine souplesse dans nos vies. On ne devrait pas reproduire à la maison les valeurs de rivalité et de compétition qui ont cours à l'extérieur, mais mettre en avant la collaboration, le partage, la complicité, l'entraide et le soutien. Car c'est d'abord dans sa famille que l'on puise la confiance en soi.
En somme, montrons-leur l'exemple en vivant pour le plaisir au quotidien, et non pour la performance.

samedi 28 décembre 2013

Les bienfaits de la cuisine

Vous voulez que vos enfants aient de bons résultats à l'école ?
Alors... apprenez-leur à cuisiner !
Eh oui, on ne s'imagine pas a priori tous les bienfaits qu'apporte la cuisine :
tout d'abord, en allant ensemble choisir et acheter les produits, parents et enfants partagent un beau moment de complicité, qui se prolongera pendant la préparation du plat ou du gâteau.
Ensuite, et pour relier cette fois apprentissages scolaires et activité culinaire, les parents peuvent expliquer l'origine du plat qu'ils vont préparer s'ils la connaissent (c'est de l'Histoire...), ainsi que l'origine géographique des produits utilisés (mine de rien, on fait de la géographie...).
Puis, lorsque l'enfant lit la recette de cuisine, toujours mine de rien, il utilise l'impératif (il fait alors de la conjugaison : « Coupez les tomates en rondelles, mixez les carottes, ajoutez la crème »...).
Et lorsque vous voulez adapter une recette conçue pour 8 personnes si vous n'êtes que 4, alors vous allez faire.... des mathématiques : vous utilisez la division (ici par exemple vous divisez toutes les quantités par 2), ou la proportionnalité (par exemple, lorsque votre recette vous donne les quantités pour 6 personnes et que vous voulez cuisiner pour 12 personnes, vous multiplierez toutes les quantités indiquées par 2 : le chiffre « 2 » est le « coefficient de proportionnalité »).
D'autre part, vous faîtes également appel à certains cours vus en SVT (sciences de la vie et de la Terre), lorsque vous vous préoccupez de bien équilibrer vos repas (par exemple, nous varions les recettes et faisons preuve de créativité afin de donner à nos enfants l'envie de manger une grande variété de fruits et de légumes...).
Et lorsque vous faîtes cuire un oeuf, sans vous en rendre compte, vous faîtes de la chimie !
Bien sûr ce moment partagé ne doit surtout pas se transformer en cours de conjugaison, de mathématiques, ou de SVT ! N'en profitons pas pour interroger nos enfants ou leur faire réciter leurs leçons, nous risquerions de les dégoûter de la cuisine à tout jamais !
Toutefois cela peut être l'occasion de leur faire remarquer, par exemple, que les tomates que nous voyons aujourd'hui sur tous les étals des marchés ou des supermarchés, étaient totalement inconnus en Europe durant des siècles. Que c'est grâce à Christophe Colomb, qui a découvert l'Amérique en 1492, qu'elles ont été découvertes puis finalement cultivées sur notre continent. Et ceci n'est qu'un exemple, qui peut être multiplié à l'infini.
En somme, profitons de ce moment de complicité entre adultes et enfants, qui seront fiers d'avoir confectionné ensemble un plat qu'ils pourront faire partager autour d'eux, à table ou bien par les photos qu'ils enverront à leurs amis pour leur donner envie de s'y mettre eux aussi !

mardi 10 décembre 2013

Réaliser ses rêves

La plupart des enfants ont un rêve pour l'avenir. Devenir médecin, coiffeur, astronaute ou journaliste...
Pour atteindre ce rêve, l'enfant va mettre en place un chemin avec des étapes à franchir, des objectifs à atteindre, des connaissances à acquérir pour y parvenir. Le rôle de ses proches est de l'aider à formuler son rêve, puis à identifier les objectifs à atteindre pour y parvenir un jour.
Il est possible pour cela de demander l'aide d'un enseignant, d'un conseiller d'orientation-psychologue, ou d'un professionnel du domaine qui intéresse l'enfant.
Que va-t-il lui falloir mettre en œuvre pour réaliser son projet ?
Quels devront être ses objectifs à court terme, à moyen terme, puis à long terme ?

De cette manière l'enfant sentira que ses proches sont à son écoute, s'intéressent à ses envies et à ses projets. Une fois qu'il aura identifié les connaissances et les outils qui lui sont nécessaires pour réaliser son projet, il sera beaucoup plus enclin à étudier les matières concernées. Et, par voie de conséquence, il s'intéressera également aux autres disciplines, car un enfant curieux ne s'intéresse pas qu'à un seul domaine !
Pensons surtout à les féliciter régulièrement pour leurs progrès, même si parfois ils nous semblent plus lents que ce que nous espérions. Il est intéressant de faire avec eux de temps en temps un petit bilan des progrès effectués, des connaissances acquises, des étapes franchies.


Aidons-le à s'approprier son projet personnel, qui n'appartient qu'à lui. 
 
Il faudra aussi lui apprendre à faire évoluer son projet. Peut-être au départ avait-il envie de devenir kiné, peut-être un jour décidera-t-il de s'orienter plutôt vers l'ergothérapie, par exemple ! Il faut toujours garder un peu de place pour la souplesse, ne pas se condamner à se retrouver prisonnier dans une voie qui finalement, avec le temps, ne nous convient pas.

Et les jours où nos enfants n'ont pas très envie d'aller à l'école, un très beau film à leur montrer est celui de Pascal Plisson, Sur le chemin de l'école : il nous fait entrer dans la vie de 4 enfants qui, dans différents lieux de la planète, parcourent chaque jour de nombreux kilomètres sur des chemins dangereux pour se rendre à l'école. Ces enfants savent que l'école représente une vraie chance pour eux pour avoir un bel avenir.
Surtout, chacun d'eux rêve à son avenir. Par exemple, le petit Samuel, en Inde, rêve de pouvoir devenir chercheur ou médecin pour soigner les enfants malades, et Jackson, au Kenya, rêve de partir découvrir le monde. C'est parce qu'ils ont un rêve, un objectif à atteindre, qu'ils ont la motivation pour chaque jour se rendre à l'école.
Dans les endroits les plus favorisés de la planète, nous perdons parfois cette conscience que l'école est à voir plus comme une chance que comme une fatalité !

mardi 19 novembre 2013

La musique

Des études ont montré l'influence de l'éducation musicale sur les apprentissages en général, ainsi que sur le développement des aptitudes sociales et de l'estime de soi : l’étude de la musique développe l’esprit critique, la pensée créative, l’imagination et la discipline personnelle.
Il apparaît également que la formation musicale permet de contrôler les comportements agressifs. Par ailleurs, dans le domaine sportif, elle peut améliorer la performance, augmenter les capacités physiques et aider à mieux supporter la douleur.

L'enfant peut apprendre à jouer d'un instrument à partir de l'âge de 6 ou 7 ans. Avant cet âge, l'éveil musical est fortement conseillé : écoute des instruments et apprentissage des rythmes par quelques exercices simples et ludiques, notamment avec les instruments de percussion.
Il s'agit d'une sensibilisation au langage musical par la voix et surtout par le corps.
La danse est aussi une activité qui permet aux jeunes enfants d'aborder la musique. 
 
Pour nous, parents, la première façon d'aborder la musique avec nos enfants est de l'écouter ensemble à travers des enregistrements, en variant le plus possible les styles de musique (en général les enfants aiment beaucoup écouter Pierre et le loup ou Piccolo Saxo et Cie).
A partir de l'âge de 4 ou 5 ans, vous pouvez vous amuser ensemble à essayer de reconnaître les instruments entendus dans tel ou tel morceau, et à taper le rythme avec les mains par exemple.
Et même si votre enfant n'est pas attiré par l'apprentissage d'un instrument, il pourra de toute façon profiter de ses bienfaits rien que par l'écoute !
En effet, le fait d'écouter de la musique réduit le stress. Les morceaux doux favorisent la concentration, tandis que les morceaux plus rythmés stimulent la créativité.
 
Ainsi, la musicothérapie utilise la musique et ses caractéristiques (mélodie, rythme, harmonie, son) pour communiquer avec une personne et agir sur sa santé mentale, physique et émotionnelle.
Elle est particulièrement recommandée pour nos ados. En effet, les thérapies classiques utilisent la parole. Or, il est compliqué pour l'ado de mettre des mots sur son mal-être. Tandis qu'écouter de la musique ou en jouer permet aux jeunes d'exprimer leurs émotions. Le but n'est alors pas de maîtriser un instrument, mais de trouver dans la musique un espace d'expression personnelle permettant d'évoluer et de se sentir plus en accord avec soi-même et avec son environnement.

Faisons une large place à la musique dans nos vies !

samedi 9 novembre 2013

La relaxation

Le corps et le mental étant étroitement liés, l'enfant agité ou stressé aura d'autant plus de difficultés de concentration et de mémorisation.
La relaxation est donc essentielle au quotidien et indispensable dans les apprentissages, notamment sur le long cours.
Et comme un parent relaxé fait un enfant relaxé, mettons-nous, nous aussi, à la relaxation !

Mais la première règle à respecter, c'est celle d'un bon sommeil. Eh oui, il n'y a pas de secret ! Pour cela, pensons à éviter à nos enfants toute sorte d'excitation avant de dormir, et notamment : éteignons les écrans après le dîner.

Ensuite, les exercices de relaxation vont être très simples, et consister globalement en quelques exercices de respiration et d'étirement, destinés à mieux irriguer le cerveau et à dénouer les tensions musculaires. Ils sont intéressants à pratiquer à tout âge !
Par exemple :
En position debout, jambes légèrement écartées, genoux légèrement pliés, yeux ouverts avec le regard fixé devant vous. Videz doucement l'air contenu dans vos poumons, puis, toujours doucement et tranquillement, inspirez profondément. Soufflez ensuite très fort, en vous penchant vers le sol, en fléchissant bien les genoux. Relâchez en même temps tout le haut du corps.
Une fois vos poumons vidés, remontez très doucement, et inspirez peu à peu, profondément. Recommencez plusieurs fois cet exercice. En soufflant, pensez à rejeter mentalement toutes les tensions et les contrariétés accumulées. Et lorsque vous inspirez, visualisez les réussites qui vous attendent dans un avenir proche ou lointain. Puis en terminant l'exercice, toujours en position verticale, appréciez ce moment de détente.

Il existe différentes techniques de relaxation, les plus connues et peut-être les mieux adaptées aux plus jeunes étant le yoga ou la sophrologie.
Pensons à ce moment de pause quotidienne, lorsqu'il est adopté il devient indispensable ! 

Je vous conseille également d'aller visiter ce site qui propose des histoires relaxantes pour les enfants :
http://relaxstory.com/cd-mp3-relaxation-sophrologie-enfant-adulte/accueil.html 





 

Valoriser les littéraires

  Episode 26 du podcast Comptons avec les littéraire à écouter ici Qu’apportent les littéraires à la société ? C’est une grande question...

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